Catégorie : Retrogaming

C’est la grande nouveauté de la rentrée, la pandora box 10th anniversary arrive dans les bornes d’arcade Arcadeur. Mais quelles sont les grandes nouveautés de cette nouvelle box? Pourquoi on vous la propose? Toutes les réponses à vos questions sont ici. (Spoiler: c’est la meilleure des Pandora Box)

Du 16:9 au 4:3 en un clin d’œil

Première grande nouveauté, c’est la possibilité de basculer d’un affichage 16:9 à un affichage 4:3 pour aspect quasi similaire à l’affichage original d’époque. C’était un des points faibles de la gamme Pandora BOX. Beaucoup de joueurs souhaitaient un affichage qui corresponde à celui de l’époque. Cependant les précédents modèles de la Pandora imposaient mode 16:9 qui étirait logiquement l’image avec son lot de déformations. C’est maintenant possible à tout moment grâce au menu contextuel qui permet de changer de manière immédiate l’affichage.

Résolution 1080p pour l’affichage plein écran

Fini les bandes noires sur vos écrans Full HD, la Pandora Box propose une résolution ou plutôt définition en 1080p en jeu et pour ses menus. Un petit plus niveau confort non négligeable.

De nouveaux émulateurs

Vous bénéficiez maintenant de nouveaux émulateurs pour consoles tels que la PSP, la Dreamcast ou encore des jeux d’arcade spécifiques AtomisWave et NAOMI.

La liste complète des émulateurs:

FBA / MAME / PS1 / PSP / NAOMI / ATOMIS WAVE / N64 / DREAMCAST / FC / SFC / MD / GAME BOY / GAME BOY COLOR / MSX / MSX / ATARI 2600 / ATARI 7800 / LYNX / GAME BOY ADVANCE

L’utilisation des light guns

Grosse nouveauté pour cette Pandora Box, vous bénéficierez de la possibilité de connecter des light guns (en option chez Arcadeur) pour profiter de jeux d’époque se jouant avec des pistolets. De un à deux joueurs vous pourrez ainsi défier des zombies, militaires, extraterrestres ou encore des cowboys.

Configuration des touches pour chaque jeux

Vous avez maintenant la possibilité de configurer le mappage des touches pour chaque jeu et les charger à la volée. Une bonne nouvelle pour les perfectionnistes 😉

Spécificités technique de la Pandora Box 10th anniversary

CPU : Multi-thread Cortex A55 jusqu’à 2,2 GHz

GPU : Mali-G52 2EE

RAM : 2 Go LPDDR4 2133 MHz 

Résolution : 1920X1080 1080p / 1280×720 720p

Système de stockage : 8GO eMMC + 64GO Micro SD

Port vidéo : 1 HDMI / 1 VGA / 2 USB 

Pour cette fin d’année l’équipe d’Arcadeur met en place les disponibilités immédiates pour ses bornes d’arcade haut de gamme :

Retrouvez dans notre menu, la catégorie “les disponibilités immédiates“, où vous pourrez choisir entre les différents modèles disponibles.

Ces bornes d’arcade neuves disposent des meilleures options avec des boutons / joysticks Sanwa de série. Aucun compromis donc sur la qualité, ces bornes étant fabriquées dans nos ateliers en Haute-Savoie. Cliquez ici pour voir nos disponibilités immédiates.

Souvenez-vous en 1992, dans votre meilleure salle d’arcade, on pouvait entendre le son retentissant des baffes qui raisonnent encore. Nous sommes tous restés scotcher devant cette borne d’arcade produite par Konami. Effectivement, la première impression était géniale, nous avions une BD animée devant nos yeux, et vous savez quoi? Microïds nous gratifie d’une nouvelle version qui va sortir prochainement sur les générations actuelles de consoles et PC.

Une BD vivante sur borne d’arcade

Vous êtes fan des BD d’Uderzo et Goscinny, alors le futur jeu de Microïds est fait pour vous. Fidèle à la version de 1992 de Konami, les graphismes se rapprochent énormément de ce que l’on peut retrouver sur les BD. Un attention toute particulière a été apportée aux graphismes de cette version ainsi qu’aux animations de cette version de Astérix et Obélix Baffez les tous. Le design a été réalisé fidèlement à la bande dessiné et les animations conçues à la main. Dans cette version vous allez parcourir tous les environnements emblématiques de la saga pour affronter les ennemis connus.

Une équipe de développement connue

Pourquoi cette version d’Astérix et Obélix risque d’être un succès? Tout d’abord nous l’avons évoqué précédemment, l’univers graphique à l’air somptueux. Mais c’est surtout que l’équipe de développement derrière ce titre se nomme Mr Nutz Studio. Les plus anciens se souviendrons d’un jeu hyper mignon sur Super Nintendo qui se nomme Mr Nutz. Très bon souvenir pour certains et cauchemar pour les autres le jeu était hyper dur. On peut également évoquer le jeu sorti sur borne d’arcade Toki qui fut en son temps très bien accueilli grâce à ses graphismes et son gameplay. Les différentes adaptations sur consoles et micro-ordinateur témoigneront de son succès.

Du fun garanti

Tout comme son prédécesseur on s’oriente vers un Beat’em up jouable à deux en local, de quoi garantir un maximum de fun. Les niveaux de jeux sont directement inspirés des tomes de la BD et un niveau inédit a été spécialement créé. L’équipe de développement nous garanti des heures de jeu ainsi que des combos différents, et adaptés à chaque Gaulois. Pour couronner le tout nous aurons droit à des dizaines de mini-jeux rappelant les scènes les plus marquantes de la BD. Enfin vous pourrez vous mesurer à la planète entière et comparer vos scores lors de chaque niveau.

Vous l’aurez compris cet épisode qui sortira en automne s’annonce très bon, et vous permettra de vous replonger dans l’univers d’Asterix et Obélix tout en étant l’acteur principal. On a hâte.

Tout le monde connait la mascotte de Nintendo, le bien nommé Mario. Mais tout à commencer sur borne d’arcade avec Donkey Kong. Personnage charismatique dans les trois opus de Donkey Kong Country sur Super Nintendo dont il était le héros. Tout n’a pas toujours été ainsi. Même s’il est connu pour sa carrière de gentil Kong, ses débuts étaient plutôt digne d’un bad boys.

Bien avant sa carrière de gentil, Donkey Kong œuvrait déjà sur borne d’arcade, et ça ne date pas d’hier mais bien d’avant hier. En effet, la borne d’arcade Donkey Kong est sortie en 1981, et elle faisait partie des premiers jeux du genre plateforme. Pourtant au début Donkey Kong n’aurait jamais du exister et il est le fruit de deux créateurs de génie Myamoto et Yokoi. L’objectif de Nintendo était de conquérir l’Amérique du nord avec ses bornes d’arcade. Une première tentative avait été faite avec la borne d’arcade Radar Scope mais elle ne rencontra pas le succès escompté. Le directeur de Nintendo préconisa donc de convertir les bornes non vendues en un nouveau jeu pour faire des économies. C’était donc le défi de nos deux créateurs.

Pour créer leur personnage, ils se sont inspirés de rivalités que nous pouvions retrouver dans le trio Brutus, Olive et Popeye. Un temps, l’achat de la célèbre licence fut envisagé mais après réflexion, ils décidèrent de ne pas dépendre d’un quelconque acteur tiers afin de pouvoir les exploiter librement. Un travail de réflexion s’engagea alors pour trouver trois personnages. Le rôle du méchant fut attribué à un gorille en référence à King Kong qui avait marqué les esprits des américains. Donkey Kong était né. Son rôle? Balancer des tonneaux le long d’une charpente métallique pour essayer d’éliminer son antagoniste Mario. Le but? Empêcher de sauver la princesse au sommet de la charpente.

Le jeu est un véritable succès aux Etat unis, ce qui lance véritablement la carrière de nos trois personnages. Beaucoup d’éditeurs cherchent alors à contacter Nintendo pour exploiter ses personnages sur divers supports notamment des jeux vidéo. Le succès est fulgurant durant les 3 premières années de la borne d’arcade dans les années 80. Puis sa popularité baisse les années suivantes, jusqu’à son retour en fanfare au milieu des années 90 sur la console Super Nintendo avec le magnifique Donkey Kong Country! Un titre superbe qui devient un véritable étalon graphique sur cette console et une référence du jeu de plateforme. Donkey Kong est alors le héros de sa propre aventure et donc le personnage principal. Nintendo créera deux suites sur Super Nintendo et plusieurs autres opus sur les consoles de nouvelle génération.

Les raisons de son succès? Du charisme, une ambiance tropicale et surtout des jeux proposant un vrai challenge pour le gamer. Ce qui tranche avec l’univers un peu enfantin de Nintendo. Pour toutes ces raisons Donkey Kong reste un personnage du jeu vidéo qui compte, même 40 ans après. Et pour toutes ces raisons nous lui souhaitons un joyeux quarantième anniversaire. Et bien sur pleins de nouveaux jeux de cette licence 😉

Il est le film de l’été sur Netflix, un retour dans les années 90 où le slasher était le style de film à la mode. Oui le style slasher, souvenez-vous! Un tueur en série qui décime toute une ribambelle d’adolescents les uns après les autres dans des situations improbables. Alors soyons clairs, les personnages avaient une sacrée tendance à se disperser plutôt que de rester groupés, pour se faire tuer plus facilement. Fear the Street se déroule en 1994, du moins la première partie, car Fear the Street n’est pas un unique film mais bien une trilogie. Mais alors que vaut Fear the Street et quel rapport avec le jeu vidéo?

Scream, Scream!

Dès les premières scènes on sent l’influence appuyée sur les films des années 90 de type slasher. Le célèbre coup de téléphone qui instaure la tension, les plans rapprochés sur la future victime, les jump scares et surtout le tueur masqué qui ressemble étrangement au Ghost Face de Scream. Fear the Street ne cache pas son hommage à la référence incontestée des films slasher, Scream. Des plans filmés comme à l’époque ainsi que des situations similaires jusque dans les retournements de situations. Par exemple un personnage chassé par le tueur, peut prendre le dessus sur son agresseur à tel point qu’on pensera l’issue heureuse, alors que finalement non. Mais attention Fear the Street n’est pas qu’un simple film slasher et passé les premières minutes, on sent tout doucement l’intrigue prendre de la profondeur et glisser vers un autre genre plus horrifique.

Un simple Slasher?

Au risque de décevoir les amateurs de Scream, Fear the Street sort rapidement de ce genre de film pour s’encrer dans le style horreur gore avec une mythologie appuyée et orientée sorcellerie. Pour faire simple, sans vous spoiler il y a une opposition entre deux villes voisines au destin totalement opposé. La première auréolée de succès et une autre qui a toujours vécue dans la première avec une image ternie par d’étranges disparitions. Ajoutez à cela une histoire d’amour et une opposition entre les deux lycée et vous avez Fear The Street.

Une référence aux années 90

Dans Fear the Street il n’y a pas de références aux bornes d’arcade comme dans The Stranger Thing, mais bien une référence aux jeux vidéo. En effet, on ne pouvait pas échapper au personnage geek, qui reste sur son ordinateur au sous sol connecté aux premières heures d’internet pour tchatter… Ce ne sont pas les seules références aux jeux vidéo car on peut voir le même personnage jouer à la console dont on voit la manette. Bien entendu elle n’a pas été choisi par hasard car les adolescents de l’époque jouaient sur une console destinée aux jeunes adultes. On ajoutera à cela l’ambiance du film qui n’est pas enfantine, ce qui justifie le choix de la console de Sega, la Mégadrive. Mais attention, la principale référence vidéoludique ne se situe pas devant un écran mais bel et bien dans la vie réelle. On peut ainsi voir le personnage secondaire geek répéter le Konami Code à chaque fois qu’il croise la fille dont il est amoureux. Ce code apparu dans les années 80 dans la plupart des jeux Konami attribuait des vies supplémentaires ou bien des vies infinies. On comprendra donc que notre héros cherche la force et l’invincibilité pour conquérir le cœur de sa douce.

Conclusion

Pour conclure, chez Arcadeur on vous conseille fortement cette série qui garantie frisson, nostalgie et du sang. Foncez 😉